BARBEAU-LAVALETTE ANAIS

NOS HEROINES

NOS HEROINES 9782923896908

27.95$

468015
9782923896908
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Disponibilité: En main

Le premier club sportif féminin au Québec est le Club des archères de Montréal. Les femmes se réunissent secrètement dans un champ de fleurs sauvages, rue Sainte-Catherine. C’est en 1858. Plus personne ne s’en souvient. C’est souvent ce qui arrive avec l’Histoire des femmes.Jeanne Mance, cofondatrice de Montréal, chasse les lucioles qu’elle enferme dans des pots en verre pour illuminer l’hôpital qu’elle a fondé. La très grande artiste Kenojuak Ashevak naît dans un igloo. Maude Watt traverse la baie James en traîneau à chiens pour secourir les castors. La Montréalaise Hilda Strike est la femme la plus rapide du monde en 1932.Si on les a souvent oubliées dans le récit de notre Histoire, on vous les présente aujourd’hui. Nos Héroïnes est un album essentiel pour toutes les petites filles et tous les petits garçons. C’est un livre qui nous fait traverser l’histoire du point de vue des filles, des femmes, des mamans, des rebelles et des militantes. Leur nom et leur visage vous resteront en mémoire. Elles sont des pionnières, elles sont des modèles.

Anaïs Barbeau-Lavalette fait des films et des voyages, elle apprend des langues et tente de ne pas les oublier, elle écrit des livres, fait beaucoup de vélo pour le plaisir, pour l’inspiration et pour se défouler. Elle essaie de ranger sa maison, elle essaie de recycler, elle essaie de cuisiner bio et elle essaie d’appliquer le Zéro déchet, tout en jonglant avec ses trois incroyables enfants, qu’elle ne veut pas échapper car elle les aime plus que tout. « Il ne faut pas chercher l’équilibre, mais embrasser le déséquilibre. » croit-elle. Quand Anaïs était petite, elle voulait être fermière ou princesse. Elle hésite encore à ce jour.

Mathilde Cinq-Mars est une fille du Québec, née au beau milieu d’une famille de sept enfants. Toute petite, elle dessine tout, partout, tout le temps, seule, avec sa mère, ses soeurs ou en compagnie d’amies à l’école... Devenue grande, elle se dit: "Je veux dessiner la France!". Elle part alors étudier les arts visuels à l’université de Strasbourg. De retour au pays, à 24 ans, l’arrivée surprenante d’un joli bébé tout rond à élever seule la convaincra de transformer en gagne-pain sa passion pour le dessin. Cinq ans plus tard, ses jours sont roses de fierté d’avoir travaillé pour plusieurs magazines et d’avoir illustré une dizaine de livres, dont celui-ci.